Le parc des Virunga recèle de richesses considérables, mais souffre aujourd’hui encore de nombreuses menaces tant à l’égard de la sauvegarde de l’environnement que du développement de la région et des populations locales. L’exploitation des ressources, le développement économique et la préservation de l’environnement ne sont pourtant pas des réalités contradictoires et peuvent converger pour bénéficier au plus grand nombre. La République Démocratique du Congo (RD Congo) ainsi que tous ses partenaires doivent, par le biais de politiques actives, concentrer leurs efforts autour de la préservation de ce patrimoine mondial unique.
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Notes[+]
↑1 | Une espèce est dite endémique d’une région si elle existe uniquement dans celle-ci. |
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↑2 | NGONGO R., Mars 2015, La vulnérabilité des aires protégées de la RDC : le cas du parc national des Virunga, p22. Aujourd’hui le parc des Virunga « compte 218 espèces de mammifères dont 21 endémiques du Rift, 706 espèces d’oiseaux dont 23 endémiques, 109 reptiles dont 11 endémiques, 78 espèces d’amphibiens dont 21 endémiques, 21 espèces de papillons endémiques, 2.077 plantes dont 230 espèces endémiques ». |
↑3 | NGONGO R., Mars 2015, La vulnérabilité des aires protégées de la RDC : le cas du parc national des Virunga page 7. On estime que 50.000 personnes dépendent directement du lac Edouard et de ses poissons pour se nourrir et leurs emplois. |
↑4 | Film documentaire : « Virunga, de l’espoir pour tout un peuple », réalisé en 2014 par Nicolas Delvaulx. |
↑5 | Ou les ressources vivantes aquatiques. |
↑6 | Lieu où se reproduisent les poissons. |
↑7 | Beltrade, Septembre 2016 – Janvier 2017, Bulletin d’actualité économique, page 48 |